Me Pacôme Adjourouvi fait le tour des bureaux : une immersion stratégique et humaine auprès de ses collaborateurs

Me Pacôme Adjourouvi fait le tour des bureaux : une immersion stratégique et humaine auprès de ses collaborateurs

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Ce matin, les couloirs du ministère de la Justice et des Droits humains ont résonné d’une dynamique peu commune : celle d’un ministre en mouvement, à la rencontre de ses collaborateurs. Le garde des sceaux, Me Pacôme Adjourouvi, récemment nommé à la tête de ce ministère élargi, a entamé sa journée en sillonnant les différents bureaux, échangeant directement avec chacun des occupants. Cette démarche saluée tant pour sa portée humaine que pour sa pertinence stratégique l’a conduit également à la Cour d’Appel de Lomé où il a échangé avec M. Poyodi Essolissam, Procureur général près ladite Cour.

Cette visite de proximité n’est pas anodine. En allant à la rencontre de chaque agent, le ministre vise un objectif précis : découvrir les différentes subdivisions du ministère, identifier les responsabilités de chacun, et surtout, mettre un visage sur chaque nom. Cette immersion directe dans l’organisation interne marque une volonté claire de gouverner en connaissance de cause, en tenant compte des réalités du terrain et des ressources humaines disponibles.

Il s’agit d’une première étape avant une série de rencontres individuelles (B to B) prévues dans les tout prochains jours. Ces échanges ciblés permettront d’approfondir la connaissance des profils, des attentes et des propositions de chaque collaborateur.

Hier ministre des droits de l’homme et aujourd’hui ministre de la justice et des droits humains du tout premier gouvernement de la 5e République, il a fort à faire. Ce changement de dimension s’accompagne d’un regard neuf, d’un plan d’action à construire et de nombreux défis à relever.

Sa démarche de ce jour envoie donc un double message. D’une part, elle traduit une volonté d’écoute et de proximité avec les équipes administratives. D’autre part, elle révèle une méthode de travail centrée sur l’humain et l’intelligence collective.

Les réactions au sein du ministère sont globalement positives. Cette initiative, rare à ce niveau de responsabilité, a été perçue comme un signe de considération et de respect. Elle suscite de l’espoir quant à une meilleure reconnaissance des efforts des agents, mais aussi quant à une prise de décisions plus éclairées et participatives.

Reste désormais à transformer cette bonne volonté en actions concrètes, à structurer les projets, et à relever les défis qui attendent le ministère. Mais une chose est sûre : Me Pacôme Adjourouvi a choisi de commencer par l’essentiel à savoir, écouter et connaître les femmes et les hommes qui porteront avec lui cette nouvelle vision de la justice et des droits humains.