Dans sa parution d’hier 15 juillet, liberté affiche à sa une « corruption et baromètre 2019 de transprency international ». Plus d’un togolais sur deux pense que la présidence, les députés le gouvernement la police et les magistrats sont corrompus.
Le même journal titre de la nécessité d’accorder la grâce présidentielle à kpatcha Gnassingbé.
Gestion foncière : en finir avec les litiges fonciers titre golfe info du mercredi 10 juillet. Au Togo écrit ce journal, le foncier se caractérise entre autre par les multiples ventes, l’usurpation, la falsification des documents administratifs. Mieux précise l’article, plus de 75% des affaires soumises aux juridictions sont d’ordre foncier ceci impacte le climat des affaires d’où l’urgence de prendre le problème à bras le corps. Et comme début de solution le nouveau code foncier voté l’an dernier et également l’élaboration d’un document le droit des litiges, un document qui fait office de guide des juges.
Le magnant libéré annonce un mouvement d’humeur en ces termes : « le personnel enseignant de l’Université de Lomé et de Kara entrent en grève le lundi 15 juillet prochain ». C’est la décision prise par les deux syndicats du supérieur, SEST et SNES à l’issue de leur assemblée générale. Les principales revendications portent sur le reliquat de l’accord de 2011, la question de la pension de retraite pour les retraités, la question de la CNSS et l’intégration des enseignants à la fonction publique une fois une fois admis sur la liste d’adhésion au CAMES.
Parlant justement de l’institution elle continue de faire parler d’elle depuis quelques semaines déjà en ces termes : Affaire CAMES, ces compétences qui gênent titre le journal Fraternité. Pour l’auteur, les sanctions infligées à certains universitaires à qui il est reproché d’avoir enfreint au code d’éthique et de déontologie de l’institution, à bien scruter cache mal d’autres contingences.
Liberté note plutôt qu’il y a un black-out à Lomé sur l’affaire CAMES et trouve que cette affaire avilit l’image de tout l’enseignement supérieur au Togo et au-delà, c’est un déshonneur pour le pouvoir de Faure Gnassingbé que ces professeurs dont l’un est même le patron de sa diplomatie. Ce journal trouve cela curieux qu’aucune sanction ne soit prise en interne contre eux.
Le même journal publie : « enquête sur les fonctionnaires fictifs dans l’administration publique épisode n°1 », avec un cas de fonctionnaire fictif au ministère des finances qui depuis 18 mois est en Belgique mais continue de percevoir son salaire. Dans cet article il relève qu’on aurait cru le phénomène disparu avec les deux recensements du personnel organisés dernièrement. Mais que nenni. Les administrations souffrent de personnel, les chômeurs jonchent les couloirs à la recherche du travail et le hic selon ce journal c’est qu’il n’y a pas de suite donnée à la vaste opération de recensement bouclé depuis 4 mois.
Pendant ce temps les dettes de l’Etat s’accumulent et c’est Alternative qui informe que l’Etat a une dette de 154 milliards envers le CNSS.
Quant TOGO-REVEIL il publie à la une : « municipales du 30 juin 2019, les résultats définitifs attendus le 17 juillet prochain à 15h à la Cour Suprême. Le même journal avait à sa une, début des luttes Evala en pays kabiyè qui effectivement ont démarré le samedi.